Après une première phase de réflexion sur la structuration des champs du travail (Acquisition, Traitement & Analyse, Diffusion, Pérennisation) le projet ADHN (Atlas Dynamique des Humanités Numériques) s’est concentré sur la question de la pérennisation des données. Ce premier panorama a donné jour, grâce au travail de Pauline Leplongeon, au poster suivant :
La pérennisation consiste, par le biais de l’archivage, à garantir la conservation à long terme, l’accessibilité et l’intelligibilité d’une ressource. On l’utilise pour favoriser la reproductibilité de la recherche et de ses résultats ; pour inscrire sa recherche dans une démarche respectant les principes FAIR (Findable, Accessible, Interoperable, Reusable) et ceux de la science ouverte ; pour favoriser la réutilisation des données et s’inscrire dans une démarche écosophique qui s’oppose à la consommation à “usage unique” des données ; pour rentabiliser la recherche qui peut être coûteuse en temps et en argent ; pour favoriser les collaborations car l’auteur des données est facilement identifiable.
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